La transmission de la mémoire favorise pour beaucoup le dialogue entre les générations. Il réhabilite le rôle social des « aînés » et permet de positiver le processus identitaire chez les enfants et les jeunes.
La ville, le quartier, les lieux d’installation des migrant-e-s sont des lieux d’inscription de trajectoires individuelles ou collectives qui, au-delà du rejet, peuvent favoriser le lien social et les solidarités, une citoyenneté partagée.